Crois-tu que cette vie énorme […], S’arrête sur l’abîme à l’homme, escarpement ? Non, elle continue, invincible, admirable, Entre dans l’invisible et dans l’impondérable, Y disparaît pour toi, chair vile, emplit l’azur D’un monde éblouissant, miroir du monde obscur… Victor Hugo (1855)
|